Frisson.…
Sombre, solitaire, acariâtre, Septicémus semble tout droit sortir d’un brouillard opaque de l’époque victorienne. Il arpente des rues sales et lugubres qui pourraient être celles d’un Londres d’antan crasseux où sévissaient les pires malfrats et un certain Jack l’éventreur.
Sombre, solitaire, acariâtre, Septicémus semble tout droit sortir d’un brouillard opaque de l’époque victorienne. Il arpente des rues sales et lugubres qui pourraient être celles d’un Londres d’antan crasseux où sévissaient les pires malfrats et un certain Jack l’éventreur.
Sombre, solitaire, acariâtre, Septicémus semble tout droit sortir d’un brouillard opaque de l’époque victorienne. Il arpente des rues sales et lugubres qui pourraient être celles d’un Londres d’antan crasseux où sévissaient les pires malfrats et un certain Jack l’éventreur.
Frissons garantis !
Sans but précis il marche à l’aide d’une canne au pommeau d’aigle d’Empereur, voûté, presque menaçant, enfermé dans la noirceur de ses habits. Sa triste et sombre figure semble dissimuler un secret....Et le corbeau perché sur l’épaule de son long manteau de cuir noir nous scrute et a l’air de nous jeter un sortilège. À moins que ce ne soit autre chose?
Sous son apparence fantastique se cache peut-être un mystère ? Septicémus pose des questions muettes comme d’autres jetteraient des dés, puis il s’éloigne, distant des choses de ce monde.
Reflet de notre époque où chacun communique à tout va dans cette solitude ultra-moderne, Spepticémus cristallise et exprime cette impossibilité de se rencontrer vraiment. Il oriente le regard sur nos préjugés. Il pose des questions juste par sa présence et ne donne jamais les réponses. A chacun de s’ausculter…
Sans but précis il marche à l’aide d’une canne au pommeau d’aigle d’Empereur, voûté, presque menaçant, enfermé dans la noirceur de ses habits. Sa triste et sombre figure semble dissimuler un secret....Et le corbeau perché sur l’épaule de son long manteau de cuir noir nous scrute et a l’air de nous jeter un sortilège. À moins que ce ne soit autre chose?
Sous son apparence fantastique se cache peut-être un mystère ? Septicémus pose des questions muettes comme d’autres jetteraient des dés, puis il s’éloigne, distant des choses de ce monde.
Reflet de notre époque où chacun communique à tout va dans cette solitude ultra-moderne, Spepticémus cristallise et exprime cette impossibilité de se rencontrer vraiment. Il oriente le regard sur nos préjugés. Il pose des questions juste par sa présence et ne donne jamais les réponses. A chacun de s’ausculter…
Grâce au globe qu’il porte sur son chapeau et à l’instar de son corbeau, il stimule cette foule qui pourrait alors ouvrir un regard perçant sur elle-même Les badauds se croisent, la multitude s’agite mais lui, Septicémus, reste seul. Témoin archétypal, intemporel, il attend et s’assume dans sa solitude, le coeur néanmoins ouvert vers autrui. Car comme dans tous les personnages du Théâtre du Vertige, il est question ici d’acceptation et de regard bienveillant sur nos humanités. Ne vous méprenez pas, c’est un être très empathique!
Sombre, solitaire, acariâtre, Septicémus semble tout droit sortir d’un brouillard opaque de l’époque victorienne. Il arpente des rues sales et lugubres qui pourraient être celles d’un Londres d’antan crasseux où sévissaient les pires malfrats et un certain Jack l’éventreur.
Frissons garantis !
Frisson.…
Sans but précis il marche à l’aide d’une canne au pommeau d’aigle d’Empereur, voûté, presque menaçant, enfermé dans la noirceur de ses habits. Sa triste et sombre figure semble dissimuler un secret....Et le corbeau perché sur l’épaule de son long manteau de cuir noir nous scrute et a l’air de nous jeter un sortilège. À moins que ce ne soit autre chose?
Sous son apparence fantastique se cache peut-être un mystère ? Septicémus pose des questions muettes comme d’autres jetteraient des dés, puis il s’éloigne, distant des choses de ce monde.
Reflet de notre époque où chacun communique à tout va dans cette solitude ultra-moderne, Spepticémus cristallise et exprime cette impossibilité de se rencontrer vraiment. Il oriente le regard sur nos préjugés. Il pose des questions juste par sa présence et ne donne jamais les réponses. A chacun de s’ausculter…
Grâce au globe qu’il porte sur son chapeau et à l’instar de son corbeau, il stimule cette foule qui pourrait alors ouvrir un regard perçant sur elle-même Les badauds se croisent, la multitude s’agite mais lui, Septicémus, reste seul. Témoin archétypal, intemporel, il attend et s’assume dans sa solitude, le coeur néanmoins ouvert vers autrui. Car comme dans tous les personnages du Théâtre du Vertige, il est question ici d’acceptation et de regard bienveillant sur nos humanités. Ne vous méprenez pas, c’est un être très empathique!
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